Article au format PDF
C’est une chance, les moteurs de recherche apprécient la même chose que les internautes. Le lecteur souhaite trouver facilement l’information qu’il cherche. Il aime être retenu par un article qui le surprend. Il apprécie qu’un écrit soit bien rédigé. Si vous placez vos mots clés en début de texte, vous permettez à l’internaute de comprendre quel est votre sujet. C’est l’idéal.
Il faut le dire, les moteurs de recherche ont des lacunes dans leurs capacités littéraires! Pour Google, une phrase se compose de noms, d’adjectifs, d’adverbes, de verbes conjugués, de prépositions. La beauté du style n’est pas son fort. Théoriquement, on peut donc créer un texte médiocre du point de vue du style. Mais là, c’est évidemment le lecteur qui n’y trouve pas son compte. Alors, pour satisfaire Google et l’internaute, voici quelques conseils.
Respectez les codes de l’écriture efficace. Adoptez la règle une idée = une phrase. Vous irez ainsi à l’essentiel. Et vos phrases seront naturellement courtes. Choisissez des mots simples. La complexité en matière de vocabulaire est à bannir. Enfin, écrivez imagé. Choisissez de bons exemple. Votre lecteur vous en sera reconnaissant.
Chaque paragraphe de votre écrit doit avoir entre 300 et 750 signes. Vous pouvez ainsi aérer votre texte au maximum. Le pire, pour un lecteur, c’est de tomber sur un texte brut, sans marges, sans paragraphes clairement marqués. Comme vous souhaitez évidemment favoriser la lecture, vous restez attentif à la vi-lisibilité chère à Hervé Vernet.
La rupture dans la logique d’un texte est parfois inévitable. Commencez alors un nouveau paragraphe. Chaque surtitre crée une nouvelle entrée de lecture. Or, sur le web, c’est essentiel. L’internaute a acquis une capacité remarquable de trouver en quelques secondes ce qu’il cherche sur une page. Et s’il ne le trouve pas… il s’en va ailleurs.
Une bonne illustration permet de mettre en valeur le texte. Si vous ne disposez pas d’une image personnelle, vous irez la chercher sur internet, libre de droits. Pour cela, rien de plus facile : il vous suffit d’aller sur Google Images. Vous cliquez ensuite sur l’onglet outils de recherche puis sur celui intitulé droits d’usage.Un clic sur réutilisation autorisée sans but commercial, et le tour est joué. Toutes les images qui apparaissent sont libres de droits.
Le choix des illustrations proposées par ce biais est limité. Parfois même, vous ressentez une certaine frustration. Mais c’est le meilleur moyen d’éviter une facture qui peut atteindre plusieurs centaines de francs. Cette mésaventure est arrivée à une physiothérapeute. Elle voulait agrémenter son site d’une photo. Sur un site proposant des milliers d’images, elle a cru de bonne foi que l’indication « gratuit » lui donnait la possibilité de télécharger l’image. C’était une mauvaise interprétation… qui lui a coûté 800 francs.
Internet a le grand avantage de permettre le surf. Passer d’un site à l’autre… c’est facile et agréable. Mais si vous voulez garder votre lecteur, faites preuve de parcimonie dans vos propositions de liens. Sept au maximum dit-on… et c’est déjà beaucoup. En revanche, si vous n’en mettez pas, vous perdez en crédibilité. Il vaut mieux placer les liens en fin de texte. Le risque est moins grand de perdre le lecteur. Et si c’est le cas, c’est moins vexant ! Par exemple, si vous allez maintenant consulter cet excellent article, vous en saurez davantage… et j’en serai réjoui !
Ces quelques petits conseils vous seront peut-être profitables.
Internet est devenu le lieu de lecture privilégié d’une grande partie de la population. Savoir écrire pour le web est donc aujourd’hui un enjeu majeur pour tout rédacteur. La chance, c’est que l’écriture pour internet est terriblement proche de l’écriture journalistique. La difficulté, c’est qu’en même temps, elle a ses règles propres qu’il ne faut pas ignorer.
Jean-Blaise Held
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C’est une chance, les moteurs de recherche apprécient la même chose que les internautes. Le lecteur souhaite trouver facilement l’information qu’il cherche. Il aime être retenu par un article qui le surprend. Il apprécie qu’un écrit soit bien rédigé. Si vous placez vos mots clés en début de texte, vous permettez à l’internaute de comprendre quel est votre sujet. C’est l’idéal.
Il faut le dire, les moteurs de recherche ont des lacunes dans leurs capacités littéraires! Pour Google, une phrase se compose de noms, d’adjectifs, d’adverbes, de verbes conjugués, de prépositions. La beauté du style n’est pas son fort. Théoriquement, on peut donc créer un texte médiocre du point de vue du style. Mais là, c’est évidemment le lecteur qui n’y trouve pas son compte. Alors, pour satisfaire Google et l’internaute, voici quelques conseils.
Respectez les codes de l’écriture efficace. Adoptez la règle une idée = une phrase. Vous irez ainsi à l’essentiel. Et vos phrases seront naturellement courtes. Choisissez des mots simples. La complexité en matière de vocabulaire est à bannir. Enfin, écrivez imagé. Choisissez de bons exemple. Votre lecteur vous en sera reconnaissant.
Chaque paragraphe de votre écrit doit avoir entre 300 et 750 signes. Vous pouvez ainsi aérer votre texte au maximum. Le pire, pour un lecteur, c’est de tomber sur un texte brut, sans marges, sans paragraphes clairement marqués. Comme vous souhaitez évidemment favoriser la lecture, vous restez attentif à la vi-lisibilité chère à Hervé Vernet.
La rupture dans la logique d’un texte est parfois inévitable. Commencez alors un nouveau paragraphe. Chaque surtitre crée une nouvelle entrée de lecture. Or, sur le web, c’est essentiel. L’internaute a acquis une capacité remarquable de trouver en quelques secondes ce qu’il cherche sur une page. Et s’il ne le trouve pas… il s’en va ailleurs.
Une bonne illustration permet de mettre en valeur le texte. Si vous ne disposez pas d’une image personnelle, vous irez la chercher sur internet, libre de droits. Pour cela, rien de plus facile : il vous suffit d’aller sur Google Images. Vous cliquez ensuite sur l’onglet outils de recherche puis sur celui intitulé droits d’usage.Un clic sur réutilisation autorisée sans but commercial, et le tour est joué. Toutes les images qui apparaissent sont libres de droits.
Le choix des illustrations proposées par ce biais est limité. Parfois même, vous ressentez une certaine frustration. Mais c’est le meilleur moyen d’éviter une facture qui peut atteindre plusieurs centaines de francs. Cette mésaventure est arrivée à une physiothérapeute. Elle voulait agrémenter son site d’une photo. Sur un site proposant des milliers d’images, elle a cru de bonne foi que l’indication « gratuit » lui donnait la possibilité de télécharger l’image. C’était une mauvaise interprétation… qui lui a coûté 800 francs.
Internet a le grand avantage de permettre le surf. Passer d’un site à l’autre… c’est facile et agréable. Mais si vous voulez garder votre lecteur, faites preuve de parcimonie dans vos propositions de liens. Sept au maximum dit-on… et c’est déjà beaucoup. En revanche, si vous n’en mettez pas, vous perdez en crédibilité. Il vaut mieux placer les liens en fin de texte. Le risque est moins grand de perdre le lecteur. Et si c’est le cas, c’est moins vexant ! Par exemple, si vous allez maintenant consulter cet excellent article, vous en saurez davantage… et j’en serai réjoui !
Ces quelques petits conseils vous seront peut-être profitables.
Internet est devenu le lieu de lecture privilégié d’une grande partie de la population. Savoir écrire pour le web est donc aujourd’hui un enjeu majeur pour tout rédacteur. La chance, c’est que l’écriture pour internet est terriblement proche de l’écriture journalistique. La difficulté, c’est qu’en même temps, elle a ses règles propres qu’il ne faut pas ignorer.
Jean-Blaise Held
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